Après les savons, restons dans la salle de bain avec une étape facile de la réduction des déchets : le déo.
Il est donc tout à fait facile de se passer d’emballage plastique pour son déodorant, et, au passage, d’arrêter des produits pas naturels 🧪 et pas bons ni pour votre peau, ni pour l’environnement.
👩🏻🏫 ··· Petit interlude prof de bio : Transpirer, c’est normal.
On transpire quand on a chaud, quand on stresse… Et ça sert à rafraichir : quand l’eau contenue dans la transpi s’évapore, ça fait du froid.
Mais comme le monde actuel n’aime pas les auréoles et les odeurs non fleuries, on nous vend des anti-transpirants.
Et là, comment dire ça à part : ce qui doit sortir, doit sortir !
Acceptons-le : on va transpirer 💦 (la quantité variant grandement).
Là où on peut agir, c’est sur les odeurs, avec des déodorants donc. Car ce qui sent dans la transpi, c’est ce que produisent les bactéries 🦠 qui s’en nourrissent. Comme les bactéries c’est plutôt cool, le principe du déodorant naturel, ça ne sera pas de toutes les tuer, ou de cacher les odeurs sous d’autres plus fortes, mais plutôt de rendre nos aisselles un moins accueillantes pour que les odeurs soient réduites au maximum. ··· 👩🏻🏫
J’utilise une recette 🥥 toute simple, mais vous pouvez aussi tout à fait en trouver des supers dans le commerce.
Rien qu’à Clisson et accessible à pied/vélo, il y a ceux de chez Endro, Clémence et Vivien et Lulu et Guite chez Casavrac.
Il y a aussi ceux de Lamazuna en solide ou bien Cozie en flacon rechargeable.
À savoir : si vous débutez avec les déo naturels, il est fort probable que le microbiote de vos aisselles mettent un petit mois à s’y habituer, et donc que vous sentiez la transpi pendant ce temps.
Surtout PAS DE PANIQUE 😱 et tenez bon !
Après ça et peut-être quelques tests pour les formulations, vous serez libéré·es à jamais des tube de déo !
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