Mercredi dans Cartier Libre sur France Inter, Caroline Cartier est revenue sur l’opération Tempête du Désert, la première guerre du Golfe. J’ai entendu une phrase dite par un journaliste à l’époque, il parlait de George Bush (le papa) en disant « l’homme le plus puissant du monde »…
Mon cerveau n’a fait qu’un tour (et pourtant j’étais en train de petit-déjeuner, alors bon, le Nutella ça occupe), ça veut dire que son fils est aujourd’hui l’homme le plus puissant du monde (si on n’oublie la Chine et tout ça quoi)… Ça fait un peu peur non ?
Sinon, dimanche soir (je crois), je me suis endormie devant Traffic. Et j’ai entendu quelqu’un dire l’expression : « Jeter les fondations ». Donc, je me suis dit, c’est bizarre comme expression quand même… Bah oui, soit ça veut dire qu’on lance les trucs qui sont sensés être les fondations de quelque chose et alors il y a toutes les chances pour que le quelque chose en question soit bancal… Soit ça veut dire qu’une fois le truc construit, on jette les fondations à la poubelle, et alors ça se casse la gueule…
Comment ça je me pose des questions à la con ?
Il me semble que l’expression « jeter les fondations » vient de l’expression « jeter les bases », employée par les Américains durant la guerre froide.
Wah l’autre hé… Ben jeter les bases je vois pas pourquoi non plus ?
Ceci dit pour (nom de code) G. W. ce n’est pas ce monsieur qui m’intrigue le plus mais plus toute l’administration en général… les gens qu’il est en train de placer à la cour suprême, ses conseillers à la défense, le renouvellement du staff des agences, etc. C’est pas tellement lui le plus puissant du monde, mais à toute la bande, ils cumulent tellement de pouvoir financier, politique et militaire qu’ils en deviennent menacants, même pour la plus innocente tartine de Nutella venue.
C’était la minute de déprime géopolitique, merci de votre attention.